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Le réemploi : définition et mise en œuvre d’une pratique vertueuse pour les entreprises

Le réemploi consiste à donner une seconde vie aux produits et matériaux afin de réduire les déchets, prolonger la durée de vie des produits et préserver les ressources naturelles. Composante essentielle de l’économie circulaire, le réemploi joue un rôle essentiel dans la gestion responsable des ressources. 

Comment fonctionne le réemploi et comment les entreprises peuvent-elles l’intégrer dans leurs pratiques ? ETERNITY Systems vous explique tout sur le rôle, les avantages et la mise en place du réemploi : 

 

Le réemploi donne une seconde vie aux produits au lieu de les transformer en déchets

Le réemploi en résumé 

  • Le réemploi consiste à donner une nouvelle vie aux produits en les réutilisant pour leur usage initial,
  • Le réemploi se distingue du recyclage, ne nécessitant pas de transformation majeure du produit,
  • Le réemploi se décline sous trois formes principales : réemploi direct, réemploi après un simple nettoyage ou une révision légère, réemploi de composants.
  • Les avantages du réemploi sont nombreux : réduction significative des déchets et de l’exploitation des ressources naturelles, optimisation des coûts des entreprises, génération d’emplois dans divers secteurs, etc.

Qu’est-ce que le réemploi ?

Selon l’article L541-1-1 code de l’environnement, la définition du réemploi correspond à « toute opération par laquelle des substances, matières ou produits qui ne sont pas des déchets sont utilisés de nouveau pour un usage identique à celui pour lequel ils avaient été conçus. » 

Le réemploi s’inscrit dans une démarche de prévention des déchets et d’économie circulaire, car il permet de prolonger la durée de vie des produits et de réduire la quantité de déchets générés. Contrairement au recyclage qui transforme le produit en déchet avant de le revaloriser, le réemploi présente l’avantage de maintenir le statut initial du produit ou du matériau réemployé. 

En pratique, le réemploi peut se manifester de trois différentes manières :

  • Réemploi direct : un objet est utilisé de nouveau pour le même usage que celui pour lequel il avait été conçu. 
  • Réemploi après nettoyage ou révision : un léger nettoyage ou une simple révision permet de réemployer un objet en l’état. Par exemple, chez ETERNITY Systems, des contenants primaires comme peuvent les bacs gastronormes peuvent être utilisés à nouveau après un nettoyage et un contrôle qualité.
  • Réemploi de composants : dans certains secteurs comme le BTP, des composants de bâtiments peuvent être récupérés lors de la déconstruction et réutilisés dans de nouveaux projets. Par exemple, des poutres en bois, des fenêtres, etc.

 

Le réemploi donne une seconde vie aux produits au lieu de les transformer en déchets

Quelle est la différence entre réemploi, réutilisation et recyclage ?

La différence principale entre réemploi, réutilisation et recyclage est qu’un produit réemployé n’est pas considéré comme un déchet et ne subit pas de transformation, tandis qu’un produit réutilisé ou recyclé est considéré comme déchet et suit un processus de traitement ou de transformation. 

Pratiques clés de l’économie circulaire, chacun de ces concepts a ses spécificités et ses avantages : 

  • Réemploi : réutilisation d’un produit dans son état initial ou après un léger nettoyage ou une simple révision. Le produit conserve son statut de produit, ne devenant pas déchet, et est utilisé pour le même usage que celui pour lequel il avait été conçu. Le réemploi est considéré comme la pratique la plus vertueuse, car il permet de prolonger la durée de vie des produits sans transformation majeure. 
  • Réutilisation : « toute opération par laquelle des substances, matières ou produits qui sont devenus des déchets sont utilisés de nouveau ». La réutilisation implique ainsi un processus de traitement de déchets, alors que le réemploi ne connaît pas de processus de transformation. La réutilisation permet de donner une seconde vie aux produits tout en les adaptant aux besoins actuels.
  • Recyclage : « toute opération de valorisation par laquelle les déchets, y compris les déchets organiques, sont retraités en substances, matières ou produits aux fins de leur fonction initiale ou à d’autres fins ». Le recyclage implique donc la transformation des matériaux d’un produit en un nouveau produit. Le produit initial est détruit et ses matériaux sont réutilisés pour créer quelque chose de nouveau (vieux vêtements en nouvelles pièces). Le recyclage permet de réduire la consommation de matières premières vierges, mais nécessite des processus industriels et de l’énergie.

En résumé, le réemploi est la pratique la plus directe et la plus écologique, suivie par la réutilisation et enfin le recyclage. Chacune de ces pratiques contribue à la réduction des déchets et à la préservation des ressources naturelles, mais à des niveaux différents d’efficacité et d’impact environnemental.

 

Quelles sont les dispositions légales qui encadrent le réemploi ?

Le réemploi est encadré par plusieurs dispositions légales : loi AGEC, clauses de réemploi, ou encore directive européenne : 

    • Loi AGEC : la loi anti-gaspillage vise à accélérer la transition vers une économie circulaire en réduisant les déchets et en favorisant le réemploi et la réutilisation. 
  • Les clauses de réemploi dans les marchés publics : les acheteurs publics, tels que les services de l’État, les collectivités territoriales et leurs groupements, ont l’obligation d’acquérir des biens issus du réemploi, de la réutilisation ou intégrant des matières recyclées. Cette obligation est définie par l’article 58 de la loi n° 2020-105 du 10 février 2020 relative à la lutte contre le gaspillage et à l’économie circulaire
  • La directive européenne 2008/98/CE : établit le cadre législatif pour la gestion des déchets au sein de l’Union européenne, et encourage fortement le réemploi comme une priorité dans la hiérarchie des déchets.

Ces dispositions légales visent à créer un cadre favorable au réemploi, en incitant les acteurs économiques à adopter des pratiques plus durables et en responsabilisant les producteurs tout au long du cycle de vie des produits.

Quels sont les avantages du réemploi ?

Le réemploi présente de nombreux avantages, notamment sur le plan environnemental, économique et aussi social : 

  • Réduction des déchets : le réemploi permet de réduire la quantité de déchets générés en prolongeant la durée de vie des produits. Cela contribue à la réduction des émissions de gaz à effet de serre associées à la gestion des déchets. 

Par exemple, dans le secteur de la restauration collective ou des événements, l’utilisation d’assiettes, de gobelets et de couverts réemployables (fabriqués en verre, en inox ou en plastique dur), permet de limiter la production de vaisselle jetable. 

  • Préservation des ressources naturelles : le réemploi permet de préserver les ressources naturelles en réemployant les matériaux existants. En évitant l’extraction de nouvelles matières premières, on réduit l’impact environnemental associé à l’exploitation des ressources naturelles. 
  • Économies financières : le réemploi permet de réaliser des économies en réduisant les coûts d’achat de nouveaux produits. Par exemple, de nombreuses industries, notamment dans l’agroalimentaire, la logistique et la grande distribution, utilisent des caisses en plastique réemployables au lieu d’acheter continuellement des caisses en carton ou en plastique à usage unique. 

ETERNITY Systems facilite ce modèle en proposant des services de lavage industriel et de revalorisation des caisses plastiques, garantissant leur propreté et leur conformité aux normes sanitaires.

  • Création d’emplois : le réemploi contribue à la création d’emplois dans les secteurs de la collecte, du tri, de la réparation et de la revente de produits d’occasion. 

Par exemple, ETERNITY Systems emploie du personnel pour collecter les emballages réemployables usagés auprès des entreprises, les trier en fonction de leur état, puis les laver, les inspecter et les réparer si besoin avant leur remise en circulation. Ce processus nécessite des compétences spécifiques en maintenance, en hygiène industrielle et en logistique, créant ainsi de nombreux emplois. 

  • Sensibilisation et éducation : le réemploi sensibilise les individus et les entreprises à l’importance de la préservation de l’environnement et de la réduction des déchets. En adoptant des pratiques de réemploi, on contribue à une prise de conscience collective et à un changement de comportement en faveur de la durabilité. 

 

Le réemploi réduit les déchets, préserve les ressources naturelles et créer des emplois

Comment mettre en œuvre le réemploi en entreprise ?

La mise en œuvre du réemploi en entreprise, dans une logique d’économie circulaire, nécessite une démarche structurée et l’implication de tous les acteurs de l’organisation. Voici les étapes clés pour intégrer le réemploi dans les pratiques de l’entreprise :

  • Diagnostic : réaliser un diagnostic des ressources disponibles dans l’entreprise. C’est-à-dire identifier les matériaux et les équipements qui peuvent être réutilisés.
  • Plan d’action : une fois le diagnostic réalisé, il faut élaborer un plan d’action pour intégrer le réemploi dans les processus de l’entreprise. Cela passe par la définition des objectifs et des actions à mettre en œuvre. 
  • Formation : il est essentiel de sensibiliser et de former les employés aux pratiques du réemploi. 
  • Suivi : il est important de mettre en place un suivi des actions de réemploi pour mesurer les progrès réalisés et ajuster les actions en fonction des retours d’expérience. Des indicateurs de performance peuvent être définis pour évaluer l’impact du réemploi sur la réduction des déchets, les économies réalisées et la préservation des ressources naturelles.

ETERNITY Systems – Un exemple d’industrie au service du réemploi

ETERNITY Systems est une entreprise spécialisée dans le lavage des contenants réemployables, offrant des solutions concrètes pour favoriser le réemploi au sein des entreprises. Elle met en place plusieurs initiatives pour promouvoir le réemploi et intégrer cette pratique au cœur de ses activités quotidiennes : 

  • Programmes de reprise et réemploi des emballages : 

L’entreprise propose des programmes de reprise de contenants, tels que des caisses, bacs, seaux, palettes, box, bacs gastronormes, gobelets, etc. Ces contenants sont collectés, puis soumis à un processus de lavage industriel pour garantir une propreté optimale, avec des normes de QHSE exigeantes, afin de pouvoir réutiliser ces contenants. Grâce à une méthode optimisée pour consommer le moins d’eau, de détergents et d’énergie possible, nous parvenons à réutiliser plus de 70 % de l’eau consommée et 1 litre d’eau peut être utilisé près de 300 fois.  

  • Gestion et logistique au service du réemploi

Au-delà du lavage, ETERNITY Systems accompagne les entreprises avec des services en logistique et traçabilité adaptés à leurs besoins. Cela inclut la réception, tri et expédition des marchandises, la réparation d’emballages, le stockage ou encore le transport et le réacheminement vers les entreprises. Cela permet non seulement de faciliter, mais aussi d’optimiser, la circulation des contenants réemployables afin de permettre aux entreprises de maximiser l’efficacité de leurs opérations tout en réduisant leur impact environnemental.

  • Innovation et durabilité dans le lavage industriel

ETERNITY Systems se distingue par son engagement envers l’innovation et la durabilité dans le domaine du lavage industriel. En optimisant les processus de nettoyage et en minimisant la consommation de ressources, l’entreprise contribue à la réduction des déchets et à la promotion d’une économie circulaire. Cette approche permet aux entreprises partenaires de bénéficier d’une solution écologique et économique pour la gestion de leurs contenants réemployables. 

En intégrant ces pratiques, notre entreprise démontre que le réemploi peut être une solution efficace et écologique, tout en soutenant l’innovation et la durabilité dans divers secteurs industriels.

Passez à l’action dès maintenant et découvrez notre guide pratique pour mettre en place le réemploi de vos emballages industriels et commerciaux.

QHSE (Qualité Hygiène Sécurité Environnement), l’enjeu majeur pour les entreprises

La QHSE, ou Qualité, Hygiène, Sécurité et Environnement, incarne une démarche stratégique déployée par les entreprises pour relever les défis majeurs liés à la sûreté des employés en entreprise et à une production durable et responsable. Approche volontariste et non obligatoire, la QHSE s’inscrit dans une logique d’amélioration continue de l’entreprise et d’une limitation de son impact environnemental. 

Qu’est-ce qu’on entend exactement par QHSE et comment mettre en place cette démarche dans votre entreprise ? ETERNITY Systems vous explique tout sur la démarche Qualité, Hygiène, Sécurité et Environnement, ses avantages et les certifications qui en découlent. 

Le concept de QHSE est une démarche volontariste à intégrer en entreprise

La QHSE en résumé 

Le concept de QHSE vise à structurer et à optimiser de manière volontaire les pratiques d’une entreprise autour de quatre piliers fondamentaux : 

  • Qualité : garantir des produits et services de qualité,
  • Hygiène : assurer la salubrité et l’hygiène des processus,
  • Sécurité : protéger les employés des risques professionnels,
  • Environnement : limiter l’impact environnemental des activités.

Adopter une démarche QHSE, c’est aussi répondre aux exigences de normes internationales comme l’ISO 9001 (Qualité), l’ISO 45001 (Sécurité), et l’ISO 14001 (Environnement) qui certifient le respect des exigences réglementaires des entreprises en termes de qualité, d’hygiène et de sécurité.

Une politique de QHSE est un véritable levier stratégique pour les entreprises, permettant de réduire les accidents et les coûts liés aux non-conformités, d’augmenter l’efficacité opérationnelle grâce à des processus mieux maîtrisés, et de renforcer la confiance des clients et partenaires en affichant un engagement clair envers la qualité, la sécurité et l’environnement.

 

Chez ETERNITY Systems, nous prenons les règles de QHSE au sérieux, notre intégration se traduisant par : 

  • Des contrôles rigoureux dans le traitement des emballages réemployables, 
  • L’optimisation de la consommation d’eau et d’énergie dans ses installations, contribuant ainsi à une économie circulaire durable ou encore,
  • La présence d’une personne dédiée à la gestion QHSE dans chaque pays afin de superviser la bonne mise en œuvre des pratiques.

 

Qu’est-ce que la QHSE ?

La QHSE est un ensemble de pratiques volontaires visant à garantir la conformité de l’entreprise aux normes de Qualité, Hygiène, Sécurité et Environnement. Il s’agit notamment d’une démarche globale de prévention et de gestion des risques sur le lieu de travail, d’amélioration de la qualité des produits et services, et de préservation de l’environnement, axée sur ces quatre piliers :

  • La qualité : c’est l’engagement d’une entreprise à dépasser les attentes de ses clients en offrant des produits et services qui inspirent confiance : informations précises, protection des données, garanties solides et service après-vente irréprochable. 
  • L’hygiène : elle couvre les pratiques visant à garantir la propreté et la salubrité des installations, des produits et des processus. Elle est notamment indispensable dans des secteurs sensibles comme l’agroalimentaire, la santé ou les cosmétiques.
  • La sécurité : c’est protéger chaque employé, client et partenaire des risques liés aux activités de l’entreprise. Cela passe par exemple par la prévention des accidents sur les lieux de travail et la garantie de conditions de travail optimales.
  • L’environnement : c’est agir pour réduire l’impact écologique de l’entreprise en adoptant des pratiques responsables et durables. Cela passe, par exemple, par la diminution des déchets, l’optimisation de l’énergie consommée, et une gestion raisonnée des ressources naturelles. Chez ETERNITY Systems, nous faisons de cet engagement une réalité en limitant l’usage des plastiques à usage unique grâce au lavage, stockage et transport de vos emballages réemployables.

 

La politique QHSE est axée sur quatre piliers : qualité, sécurité, hygiène et environnement

Quelles différences entre QSE et QHSE ? 

La QSE est une démarche plus large qui regroupe les dimensions de la Qualité, de la Sécurité, et de l’Environnement. La QHSE, quant à elle, se distingue en intégrant spécifiquement un volet supplémentaire : l’Hygiène. Il s’agit donc d’un volet de la QSE, qui inclut également la HSSE, la QSSTE, la SSE et la RSE.

Ainsi, la QHSE intègre des exigences spécifiques liées à la salubrité et à la propreté des processus, des installations, et des produits. Une politique de QHSE est donc particulièrement adaptée aux secteurs sensibles comme l’agroalimentaire, la santé et les cosmétiques, où la gestion des risques de contamination est essentielle.

Quelles sont les certifications QHSE ?

Les politiques QHSE sont régies par 3 normes transversales qui certifient qu’une entreprise respecte des standards reconnus en matière de qualité, d’hygiène et de sécurité : norme ISO 9001, norme ISO 45001 et norme ISO 14001. Ces normes permettent non seulement de garantir la conformité aux exigences réglementaires, mais aussi de renforcer la confiance des clients et partenaires en prouvant un engagement concret envers des pratiques durables et responsables : 

  • La norme ISO 9001 dédiée à la qualité : norme internationale qui définit les exigences pour un système de management de qualité. Son objectif est de garantir que les produits et services fournis répondent aux attentes et aux besoins des clients tout en améliorant en permanence les processus internes.
  • La norme ISO 45001 dédiée à la sécurité : norme qui établit un cadre pour améliorer les conditions de travail et garantir un environnement professionnel sûr et sain. Cela aide les entreprises à réduire les accidents, à améliorer le bien-être des employés et à renforcer leur conformité réglementaire.
  • La norme ISO 14001 dédiée à l’environnement : elle fournit un cadre et des lignes directrices qui visent à réduire l’impact écologique tout en optimisant l’utilisation des ressources. Chez ETERNITY Systems, elle garantit des processus de lavage des emballages réemployables conçus pour réduire la consommation d’eau et d’énergie, renforçant ainsi notre engagement en faveur de pratiques durables.

Les spécificités de la QHSE liées à l’hygiène

Dans le cadre d’une démarche QHSE, des outils et réglementations spécifiques à l’hygiène complètent les certifications QHSE, en particulier dans des secteurs sensibles comme l’agroalimentaire ou la santé : 

  • L’HACCP (Hazard Analysis Critical Control Point) : est une méthode de gestion des risques qui identifie, évalue, et contrôle les dangers liés à la sécurité alimentaire tout au long de la chaîne de production. Elle garantit que les produits alimentaires sont sûrs, en prévenant les contaminations biologiques, chimiques ou physiques. Chez ETERNITY Systems, certifiée HACCP, cette approche est appliquée avec soin pour garantir que les emballages agroalimentaires soient nettoyés et désinfectés selon des protocoles stricts, éliminant tout risque de contamination.
  • Le Paquet Hygiène regroupe un ensemble de règlements européens conçus pour assurer la salubrité des aliments à chaque étape de leur production, transformation et distribution. Il impose des installations conformes aux normes sanitaires et une traçabilité rigoureuse des produits, afin que les entreprises puissent garantir la sécurité alimentaire tout en respectant les exigences légales.

 

Vous souhaitez adopter une démarche QHSE et obtenir une certification ? Vous pouvez passer par un organisme agréé comme l’AFNOR pour déposer votre demande. Assurez-vous bien que vos pratiques respectent les exigences des 3 normes clés qui composent la QHSE : ISO 9001 (Qualité), ISO 45001 (Sécurité), et ISO 14001 (Environnement).

La certification QHSE est régie par des certifications spécifiques

Quels sont les avantages d’une démarche QHSE en entreprise ?

S’engager dans une démarche QHSE au sein d’une entreprise de toute taille peut avoir plusieurs avantages tant au niveau économique, environnemental, mais aussi humain. Une entreprise qui adopte une gestion QHSE va non seulement :

  • Accroître la performance de l’entreprise, 
  • Renforcer son image de marque, 
  • Protéger les salariés des risques,
  • Entrer en conformité avec les exigences réglementaires. 

Conformité réglementaire 

Dans de nombreux secteurs, les réglementations en matière de qualité, de sécurité et d’environnement sont de plus en plus strictes. Ne pas les respecter peut entraîner des amendes, des interruptions d’activité, ou même des atteintes à la réputation. La démarche QHSE aide les entreprises à anticiper ces exigences et à rester conformes.

L’amélioration des performances

La mise en place d’une démarche QHSE permet d’améliorer la productivité en alignant les pratiques sur des normes QHSE reconnues, telles que l’ISO 9001. Cela passe par une meilleure gestion des ressources, des contrôles rigoureux à chaque étape, et une planification précise. 

La réduction des risques

Les règles de QHSE sont également un outil puissant pour anticiper et prévenir les risques comme les accidents du travail, les incidents environnementaux, ou encore les contaminations dans les secteurs sensibles. Grâce à l’intégration de normes comme l’ISO 45001 et de méthodes comme l’HACCP, les entreprises identifient les risques et mettent en œuvre des mesures préventives. 

Renforcement de l’image de marque 

L’adoption d’une démarche QHSE démontre un engagement clair envers des pratiques responsables et transparentes. Les certifications telles que l’ISO 9001 ou l’ISO 14001 offrent des preuves tangibles que l’entreprise respecte des standards élevés en matière de qualité, de sécurité et d’environnement, inspirant ainsi confiance auprès des consommateurs et des partenaires.

Comment mettre en place une politique QHSE au sein d’une entreprise ? 

Mettre en place une politique QHSE au sein d’une entreprise requiert une méthodologie structurée et par étapes :

  • La première étape consiste à établir un diagnostic : c’est-à-dire évaluer la situation actuelle et les besoins de l’entreprise en matière de qualité, d’hygiène, de sécurité et d’environnement. Pour cela, l’entreprise peut s’appuyer sur des audits internes ou externes afin d’identifier correctement ses forces et ses faiblesses. 
  • La seconde étape consiste à définir les objectifs QHSE : une fois le diagnostic posé, l’entreprise doit se fixer des objectifs clairs et mesurables. Dans un souci de cohérence, il est important d’aligner ces objectifs avec la stratégie globale de l’entreprise. 
  • Puis, pour qu’une politique QHSE soit réussie, elle demande l’implication de l’ensemble des collaborateurs. Il est donc essentiel non seulement de former les équipes aux enjeux QHSE, mais aussi de nommer des responsables dédiés à la gestion de la démarche. Par exemple, chez ETERNITY Systems, une personne est dédiée aux enjeux QHSE dans chaque pays.
  • Enfin, une fois les actions organisées et mises en place dans l’entreprise, il faut effectuer un suivi rigoureux et régulier, via des indicateurs de performance, pour mesurer l’impact des actions mises en œuvre et d’identifier les axes d’amélioration. En effet, la QHSE n’est pas une démarche ponctuelle, mais un processus évolutif. C’est pour cela que mettre en place une politique QHSE nécessite un engagement fort et une mobilisation de tous les collaborateurs.

 

Plusieurs étapes sont nécessaires pour mettre en place une politique QHSE en entreprise

Comment se former à la QHSE ?

Plusieurs options de formation existent en fonction des besoins des professionnels : 

  • Les formations en ligne, souvent certifiantes, permettent d’acquérir les bases des normes ISO 9001, 14001 ou 45001 ainsi que des méthodologies comme l’HACCP ;
  • Des organismes spécialisés, comme l’AFNOR ou des écoles reconnues, proposent également des cursus approfondis dédiés au management QHSE, allant de courtes sessions à des diplômes professionnels ;
  • Pour les entreprises, il est possible d’organiser des formations internes pour sensibiliser et former les équipes aux enjeux QHSE. Des cabinets de conseil proposent aussi des accompagnements personnalisés pour intégrer efficacement la démarche.

 

Vous connaissez désormais tout ce qu’il faut savoir sur la démarche QHSE. Adopter rapidement cette approche, axée sur la qualité, l’hygiène, la sécurité et l’environnement, vous permet d’améliorer vos performances tout en restant conforme aux normes internationales et en renforçant votre engagement envers un avenir durable. 

Pour tous vos besoins en lavage, réparation, stockage et transport de vos emballages, faites confiance à ETERNITY Systems, et engagez-vous avec nous dans une transition responsable et tournée vers la durabilité.

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L’économie circulaire : en quoi ce modèle est-il vertueux pour les entreprises ? 

L’économie circulaire est un modèle économique qui se différencie de l’économie linéaire en limitant le gaspillage des ressources et en favorisant leur réutilisation. Son objectif est d’apporter des solutions de développement durable concrètes telles que l’écoconception, le réemploi ou encore la réduction des déchets, face à l’épuisement des ressources naturelles et à la pollution croissante. 

Pour les entreprises françaises, l’économie circulaire est un modèle vertueux permettant la réduction des coûts d’approvisionnement, l’optimisation de la gestion des déchets, et l’amélioration de leur image. Comment fonctionne ce modèle ? Quelles sont les actions à mettre en place dans votre entreprise pour réduire votre impact environnemental ? ETERNITY Systems vous explique tout sur l’économie circulaire, ses avantages et les leviers à mettre en place pour amorcer une transition

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L’économie circulaire en résumé 

L’économie circulaire est un modèle économique introduit comme un objectif national par la loi de transition énergétique pour la croissance verte de 2015, visant à réduire la consommation de matières premières et à limiter les déchets par le réemploi et le recyclage. Il s’articule autour de plusieurs piliers d’action, dont l’écoconception, l’écologie industrielle, l’économie de fonctionnalité et la consommation responsable.

Pour les entreprises, l’économie circulaire offre de nombreux avantages, permettant non seulement de répondre aux attentes croissantes des consommateurs et aux exigences réglementaires, mais aussi d’optimiser leurs coûts en réduisant leur consommation de ressources. De plus, en adoptant ce modèle, elles renforcent leur image, et contribuent activement à la préservation de l’environnement.

 

ETERNITY Systems se place au cœur des enjeux de l’économie circulaire, proposant un service de lavage industriel durable et responsable des emballages réemployables. Notre engagement envers le réemploi, la traçabilité et l’optimisation logistique permet à votre entreprise d’amorcer sa transition vers une économie circulaire viable et bénéfique, pour un futur toujours plus vert.

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Qu’est-ce que l’économie circulaire ? 

L’économie circulaire est un modèle économique consistant à produire et à consommer des biens et des services de manière durable afin de prolonger leur cycle de vie. Selon l’ADEME (Agence de la transition écologique), elle « désigne un ensemble de pratiques dont la finalité est de préserver les ressources naturelles comme l’eau, l’air, le sol et les matières premières ».

Ainsi, l’économie circulaire vise à limiter la consommation et le gaspillage des ressources naturelles et la production de déchets en priorisant la réutilisation, la réparation, le recyclage et la réduction des déchets. Elle existe donc en opposition à l’économie dite linéaire qui consiste à extraire, produire, consommer, et jeter.

La loi AGEC (Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire) de 2020 a été instaurée dans cet objectif de transition énergétique et écologique et a eu un impact significatif sur l’économie circulaire est significatif, imposant notamment de nouvelles obligations de tri et de valorisation des déchets et encourageant les entreprises à repenser la conception de leurs produits pour allonger leur durée de vie.

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Quels sont les 7 piliers de l’économie circulaire ? 

L’économie circulaire s’articule autour de 7 piliers répartis en 3 domaines d’action (production, consommation et gestion des déchets), qui ont vocation à réduire le gaspillage et à optimiser l’utilisation des ressources : 

  • L’approvisionnement durable,
  • L’écoconception,
  • L’écologie industrielle,
  • L’économie de fonctionnalité,
  • La consommation responsable, 
  • L’allongement de la durée d’usage,
  • Le recyclage.

L’approvisionnement durable des ressources

Ce pilier de l’économie circulaire consiste à privilégier l’utilisation de ressources renouvelables ou recyclées en sélectionnant des matières premières qui préservent notre environnement et les ressources naturelles à long terme. L’objectif est de limiter l’impact environnemental dès l’origine du cycle de vie d’un produit en optant pour des chaînes d’approvisionnement traçables et responsables.  

C’est dans cette logique qu’ETERNITY Systems s’engage à réduire la consommation d’eau et d’énergie avec un processus de lavage performant, permettant de réutiliser +70 % de l’eau consommée. D’autre part, notre solution MT&You, permettant de tracer les emballages tout au long de la chaîne de valeur, garantit un suivi optimal de l’utilisation des ressources. 

La conception écoresponsable

L’éco-conception consiste à intégrer des critères environnementaux dès la création d’un produit ou d’un service afin de limiter son impact tout au long de son cycle de vie. 

L’écologie industrielle et territoriale

Ce principe d’économie circulaire repose sur la coopération des entreprises qui se trouvent sur une même zone géographique pour optimiser l’utilisation des ressources. Par exemple, les déchets d’une entreprise peuvent devenir les matières premières d’une autre. Cela permet de valoriser la collaboration entre acteurs locaux pour réduire leur empreinte environnementale. 

L’économie de fonctionnalité

Privilégier l’usage à la possession repose sur l’idée que l’utilisateur puisse profiter d’un produit ou d’un service via des solutions de location, d’abonnement ou de prestation de services. Ce modèle encourage la durabilité des produits, car c’est l’entreprise qui devient responsable de leur bon fonctionnement. 

La consommation responsable

La consommation responsable vise à encourager le consommateur à faire des choix qui privilégient des produits ou des services : 

  • Durables et de qualités, avec des matériaux résistants, conçus pour durer dans le temps ;
  • Réparables et réutilisables, en facilitant leur entretien et leur réparation ;
  • Recyclables, c’est-à-dire conçu pour être réintégré au cycle de production une fois leur usage terminé.

Dans cette optique, il est important de sensibiliser le consommateur pour l’aider à comprendre l’impact de son choix de consommation. 

L’allongement de la durée d’usage

Prolonger la durée de vie des produits repose sur leur réparation, leur réemploi et leur réutilisation. Ces 3 R ont pour objectif de réduire la production de nouveaux biens tout en limitant l’exploitation des ressources et la production de déchets. 

Ce pilier s’inscrit dans les objectifs de la loi anti-gaspillage AGEC qui vise en partie à lutter contre l’obsolescence programmée, pratique consistant à concevoir des produits avec une durée de vie intentionnellement limitée. 

Le recyclage

Le recyclage est un pilier fondamental de l’économie circulaire, qui consiste à réintroduire les matériaux issus des déchets dans le cycle de production. Pour être efficace, le recyclage doit reposer sur une collecte optimisée grâce au système de tri sélectif, un traitement des matériaux efficace et un cycle de production repensé en concevant des produits facilement recyclables. 

Ce pilier encourage ainsi les industriels à repenser la conception des biens pour faciliter leur recyclage et à privilégier des chaînes d’approvisionnement intégrant davantage de matières recyclées. 

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Quels sont les avantages d’une économie circulaire pour les entreprises ? 

Les entreprises ont tout à gagner en adoptant un modèle d’économie circulaire. Modèle vertueux, il leur permet non seulement de réduire leur consommation de ressources, d’optimiser leurs coûts et de limiter leurs émissions de gaz à effet de serre, mais aussi d’améliorer leur image et de renforcer leur engagement en matière de responsabilité sociétale : 

  • Réduction de la consommation des ressources : l’un des principes clés de l’économie circulaire est la réutilisation et la valorisation des ressources existantes. Avec cette logique, les entreprises peuvent diminuer leur dépendance aux matières premières et limiter les pertes, grâce à des systèmes efficaces de production (éco-conception, gestion optimisée des déchets). 

 

  • Optimisation des coûts d’exploitation : l’économie circulaire permet de réduire de nombreux coûts : les coûts énergétiques, ceux liés aux déchets à traiter, ainsi que ceux liés à l’achat de matières premières. Par exemple, cela passe par l’usage de matériaux recyclés, comme le réemploi des emballages, plutôt que l’achat systématique de nouveaux contenants. 

 

  • Protection de l’environnement : l’économie circulaire permet non seulement de réduire la nécessité de produire de nouveaux biens grâce au réemploi, mais aussi de diminuer le transport de matières premières longues et polluantes, contribuant à réduire les émissions de gaz à effet de serre.

 

  • L’amélioration de la RSE : l’économie circulaire peut être un très bon levier pour renforcer la responsabilité sociétale d’une entreprise. En effet, en réduisant le gaspillage et en optimisant la gestion des ressources, les entreprises adoptent une démarche éthique qui répond aux attentes croissantes des consommateurs en matière environnementale. D’autre part, sur le plan social, l’économie circulaire favorise la création d’emplois locaux et non délocalisables, notamment dans les secteurs du réemploi, du recyclage et de la réparation.

ETERNITY Systems – Un exemple d’économie circulaire qui fonctionne 

ETERNITY Systems illustre parfaitement à quoi ressemble un modèle d’économie circulaire fonctionnel au travers de notre activité centrée sur le lavage et le réemploi d’emballages. Notre entreprise se distingue par notre capacité à intégrer des pratiques durables tout au long de son activité avec : 

  • Un système de lavage industriel permettant de prolonger considérablement la durée de vie des contenants réutilisables (caisses, bacs, palettes, etc.), contribuant à réduire la production de déchets tout en limitant l’extraction de nouvelles matières premières ;
  • L’écoconception, au cœur de nos processus, en développant des systèmes de lavage économes en ressources (1L d’eau de lavage peut être réemployé jusqu’à 300 fois) ;
  • Une solution digitale clé en main pour assurer la traçabilité complète des emballages traités. Grâce à un ERP centralisé, nos clients peuvent suivre les flux en temps réel et les facturations associées ;
  • Un service MT Logistics qui optimise les flux logistiques et de transport, favorisant la diminution de l’empreinte carbone et la valorisation du réemploi. 
  • Une activité de réparation d’emballages réutilisables en plastique permettant de prolonger leur cycle de vie et d’éviter leur mise au rebut prématurée.

 

En combinant réemploi, écoconception, traçabilité et optimisation logistique, ETERNITY Systems démontre qu’il est possible d’avoir un modèle d’économie circulaire viable et durable. Et grâce à nos solutions de lavage industriel, nous accompagnons efficacement les entreprises dans leur transition vers un système économique plus durable et responsable.

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Quels sont les leviers pour passer d’une économie linéaire à une économie circulaire ?

Pour réussir la transition vers une économie circulaire, plusieurs initiatives ont été mises en place à l’échelle nationale et européenne. Ces différents leviers réglementaires encouragent les entreprises et les consommateurs à adopter des pratiques plus durables. 

En France, la loi AGEC, adoptée en 2020 et inspirée de la feuille de route économie circulaire publiée en 2018, impose des objectifs concrets comme la réduction de l’utilisation des plastiques à usage unique, l’obligation de recyclage à 100 % des plastiques d’ici 2025, la diminution de 50 % des déchets mis en décharge et la lutte contre l’obsolescence programmée via un nouvel indice de réparabilité.

En février 2021, le Parlement européen a adopté une résolution visant à atteindre, d’ici 2050, une économie neutre en carbone, durable sur le plan environnemental, sans substances toxiques, et pleinement circulaire, avec des actions renforcées comme la promotion de produits durables et la responsabilisation des consommateurs.

En mars 2022, la Commission européenne a présenté un premier ensemble de mesures pour accélérer la transition vers une économie circulaire, incluant notamment la dynamisation des produits durables, la responsabilisation des consommateurs et une stratégie sur les textiles durables. En novembre 2022, elle a proposé de nouvelles règles européennes sur les emballages visant à améliorer leur conception, faciliter le recyclage et encourager une utilisation de plastiques biosourcés et compostables.

L’ensemble de ces leviers vise à restructurer les pratiques industrielles et de consommation en favorisant la réduction des déchets à la source, le réemploi des produits et une gestion plus responsable des ressources, dans un cadre réglementaire de plus en plus exigeant.

 

Vous savez maintenant tout sur l’économie circulaire et les avantages qui en découlent pour un avenir plus durable. Adopter ce modèle au sein de votre entreprise et de vos logiques de production est essentiel, vous permettant de réduire votre impact environnemental et d’être en conformité avec un cadre réglementaire toujours plus strict. 

Et pour amorcer une transition vers une économie circulaire durable et responsable, faites confiance à ETERNITY Systems.

Vous souhaitez mettre en place le réemploi de vos emballages et contribuer à une économie plus circulaire, téléchargez notre livre blanc en cliquant sur le bouton ci-dessous :

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Loi AGEC : quelles règlementations pour le gaspillage et la gestion des déchets ?

La loi AGEC, loi anti-gaspillage pour une économie circulaire, est une loi adoptée en 2020 visant à lutter contre le gaspillage et la pollution plastique. Son objectif est d’accélérer le changement du modèle de production et de consommation, pour transitionner vers une économie circulaire plus durable et responsable.

Comment la loi AGEC impacte l’activité de votre entreprise ? Comment repenser rapidement et efficacement votre mode de production et de consommation ? ETERNITY Systems vous explique tout sur la loi anti-gaspillage, les réglementations en place et les nouvelles mesures prévues en 2025.

La loi AGEC vise à réduire la production de déchets et à favoriser l'économie circulaire

Synthèse de la loi AGEC 

La loi AGEC est une loi visant à réduire la production de déchets et à favoriser un modèle d’économie circulaire basé sur la stratégie des “3R” : réduction, réemploi et recyclage. Elle repose sur cinq axes clés : 

  • La fin du plastique à usage unique, 
  • La transparence d’information pour le consommateur, 
  • La lutte contre le gaspillage, 
  • L’encouragement à la durabilité des produits,
  • La transformation des méthodes de production.

En 2025, la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire introduit des nouvelles mesures comme : l’extension de la Responsabilité Élargie du Producteur (REP) aux emballages industriels, l’interdiction des plastiques non-recyclables dans la restauration collective, et la mise en place de l’indice de durabilité pour les produits électriques et électroniques. 

 

Eternity Systems, au cœur de l’économie circulaire, accompagne votre entreprise dans cette transition avec des solutions concrètes de lavage industriel, de transport, de réparation et de stockage de vos emballages primaires, secondaires et tertiaires. Réduisons ensemble la production de déchets et préservons nos ressources et notre environnement.

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Qu’est-ce que la loi AGEC ? 

La loi AGEC (loi Anti-Gaspillage pour une Économie Circulaire) est une disposition adoptée en 2020 dans le cadre de la Charte de l’environnement de 2004. Elle vise à passer d’une économie linéaire (produire – consommer – jeter) à une économie circulaire pour limiter les déchets et préserver les ressources naturelles, la biodiversité et le climat.

En effet, avec plus de 300 millions de tonnes de déchets produits chaque année en France selon le Ministère de la Transition écologique, la gestion des déchets ménagers et alimentaires est devenue un enjeu environnemental majeur et urgent. Pour lutter contre la production de déchets et le gaspillage, la loi AGEC introduit un cadre juridique précis et progressif qui impose des obligations aux entreprises comme aux particuliers. 

La loi AGEC prévoit différentes étapes de réalisation de ses objectifs, allant de 2021 à 2025, de 2025 à 2030, de 2030 à 2035 et de 2035 à 2040. Mettant en place une stratégie nationale des “3R”, cette loi anti-gaspillage est composée de 130 articles qui fixent les différents objectifs à atteindre d’ici 2040. Par exemple : 

  • L’article 13 concerne l’obligation d’information du consommateur sur les qualités et caractéristiques environnementales des produits ;
  • L’article 58 rend obligatoire le tri à la source des biodéchets pour tous, particuliers et entreprises, afin de réduire les déchets organiques envoyés en décharge.

Pour parvenir à ses objectifs, l’AGEC se développe autour de 5 axes principaux.

La loi anti-gaspillage AGEC repose sur 5 piliers de développement

Les 5 axes de développement de la loi AGEC 

La loi AGEC repose sur 5 axes de développement qui visent à transformer la gestion des ressources et à encourager des pratiques plus durables :

Sortir du plastique à usage unique

Face à la pollution plastique qui impacte énormément les écosystèmes marins et terrestres (au moins 85 % du total des déchets marins selon le Programme des Nations Unies pour l’Environnement), l’AGEC vise à limiter la production des déchets non-recyclables

Pour réduire concrètement la production de déchets plastique en France, la stratégie des “3R” est appliquée : réduire la quantité de plastique utilisée dans les produits et emballage, encourager le réemploi d’un produit pour prolonger sa durée de vie, et recycler les déchets plastiques en nouvelles ressources.

Par exemple, la loi anti-gaspillage pour une économie circulaire : 

  • Interdit ainsi progressivement les emballages plastiques à usage unique jusqu’au zéro plastique jetable en 2040, 
  • Supprime les emballages plastiques pour certains fruits et légumes frais, 
  • Interdit la distribution gratuite de bouteilles en plastique dans les entreprises,
  • Favorise le vrac
  • Encourage des solutions alternatives comme les emballages réutilisables, biodégradables ou compostables. 

Retrouvez toutes les mesures de la loi anti gaspillage pour sortir du plastique jetable

 

Mieux informer les consommateurs

La transparence envers les consommateurs constitue le socle de la loi AGEC. L’objectif est de permettre aux consommateurs d’avoir accès à des informations claires et vérifiables sur l’impact environnemental des produits qu’ils consomment

Cette transparence passe par des mesures concrètes comme : 

  • L’obligation d’afficher les qualités environnementales des produits (taux de matière recyclée, recyclabilité, présence de substances dangereuses comme les perturbateurs endocriniens, information sur la garantie légale de conformité),
  • La généralisation du logo Triman qui indique qu’un produit ou son emballage est recyclable et qu’il doit être trié ou déposé dans un point de collecte spécifique, pour être correctement valorisé.

Lutter contre le gaspillage et pour le réemploi solidaire

Un des objectifs majeurs de la loi AGEC est de réduire drastiquement la surconsommation en luttant contre le gaspillage des ressources et en favorisant le réemploi. Dans cette logique de promotion du réemploi, la loi économie circulaire met notamment en place :

  • L’interdiction de détruire des invendus non-alimentaires (textile, électronique, livres, etc.). Le recyclage ou le don en faveur des associations de lutte contre la précarité ou d’autres structures d’ESS est encouragé,
  • Le renforcement des sanctions envers les entreprises détruisant ou détériorant des denrées alimentaires invendues,
  • La lutte contre le gaspillage alimentaire dans le secteur de la distribution et de la restauration collective, avec une réduction de 50 % d’ici 2025 (par rapport à 2015). Pour le secteur de production ou de transformation des denrées alimentations, et le secteur de la restauration commerciale, ce délai est porté à 2030,
  • La fin de l’impression automatique des tickets de caisse, les commerçants devant proposer un ticket papier ou dématérialisé.

Agir contre l’obsolescence programmée

La loi AGEC encadre et sanctionne l’obsolescence programmée, pratique de surconsommation consistant à réduire intentionnellement la durée de vie d’un produit pour inciter son remplacement prématuré. Dans ce cadre, la loi encourage la durabilité des produits en facilitant leur réparation et en responsabilisant les fabricants :

  • La loi anti-gaspillage a instauré, depuis 2021, l’affichage d’un indice de réparabilité obligatoire pour certains produits électroniques et électriques, en magasin comme en ligne. Allant de 0 à 10, il signale au consommateur la facilité de réparation de son produit,
  • Elle impose aux commerçants l’information de la disponibilité ou non de pièces détachées lors d’un achat d’un produit d’ameublement ou d’un produit électronique. Le fabricant ou le vendeur aura ensuite 15 jours pour mettre à disposition les pièces détachées nécessaires, issues de l’économie circulaire,
  • Elle interdit la restriction de réparation ou de reconditionnement. Cela inclut la présence d’une mise à jour visant à ralentir ou à dégrader l’utilisation de l’appareil,
  • La loi instaure la création d’un fond de réparation avec un bonus de réparation pour inciter les consommateurs à prolonger la durée de vie de leurs produits en les faisant réparer. Ce bonus de réparation sera directement déduit de la facture du consommateur rendu chez un réparateur labellisé.

Repenser les méthodes de production

Ce dernier axe de l’AGEC s’attaque à la source du problème : la production des produits et des emballages par les entreprises. Pour passer d’une économie linéaire à une économie circulaire qui favorise le réemploi et le recyclage, la loi impose aux entreprises de repenser leurs méthodes de production pour réduire leur impact environnemental dès la conception.

Cet axe passe principalement par la mise en œuvre de la Responsabilité élargie du producteur (REP), qui élargit l’application du principe de « pollueur – payeur », qui prévoit que « les frais résultant des mesures de prévention, de réduction de la pollution et de lutte contre celle-ci sont supportés par le pollueur ».

Aux filières « pollueurs-payeurs » existantes s’ajoutent notamment :

  • Les produits du tabac,
  • Les jouets,
  • Les articles de sport,
  • Les produits ou matériaux de construction du bâtiment,
  • Les voitures, camionnettes, véhicules à moteur à 2 ou 3 roues et les quadricycles à moteur, 
  • Les chewing-gums.

De plus, la loi AGEC prévoit l’incitation à utiliser des matières recyclées dans les produits fabriqués, la limitation des emballages inutiles, ainsi que l’obligation de réutilisation ou de recyclabilité des matériaux.

La loi antigaspillage impose, depuis 2024, le tri à la source des biodéchets pour tous les producteurs

Quel est l’impact de la loi anti-gaspillage sur les entreprises ? 

L’impact majeur de la loi AGEC sur l’activité des entreprises provient de l’élargissement de la responsabilité du producteur (REP). Cette responsabilité impose aux producteurs et importateurs d’assumer la gestion de la fin de vie des produits qu’ils mettent sur le marché, en finançant et en organisant la collecte et le recyclage des déchets générés.

Existant depuis 1992 pour les emballages ménagers, cette REP s’étend au 1er janvier 2025 aux emballages professionnels et commerciaux (EIC). Cette extension vise à renforcer leur réemploi, le recyclage et la réutilisation pour réduire leur impact environnemental, qui représente environ 7 millions de tonnes d’emballages par an. Cela concerne ainsi : 

  • Les emballages primaires : directement en contact avec le produit (bouteilles, flacons, cartons),
  • Les emballages secondaires : regroupant plusieurs produits (films plastiques autour de packs),
  • Les emballages tertiaires : destinés au transport (palettes, films étirables, caisses).

D’ici 2027, les entreprises devront ainsi intégrer 10 % d’emballages réemployables sur le marché français, avec un système de bonus/malus appliqué. Des primes récompenseront l’écoconception, l’utilisation de matières recyclées et la réemployabilité, tandis que des pénalités sanctionneront la non-recyclabilité, la présence de perturbateurs de tri ou de substances nocives après recyclage.

ETERNITY Systems est votre partenaire clé pour répondre aux exigence de la loi AGEC

ETERNITY Systems est votre partenaire clé pour répondre aux nouvelles obligations de production et de consommation de l’AGEC. Grâce à nos solutions de lavage industriel d’emballages réemployables, votre entreprise s’adapte rapidement et efficacement aux exigences de la loi. 

Et parce que vos besoins sont uniques, nos solutions le sont aussi, avec des offres clés en main à chaque étape du réemploi pour améliorer votre performance économique, améliorer votre image de marque et vous démarquer sur votre marché.

Contactez-nous

Notre lavage industriel répond à l’extension du principe de REP de la loi AGEC 2025

 

 

Quelles sont les futures mesures de la loi AGEC en 2025 ? 

Dès 2025, de nouvelles mesures de la loi AGEC seront mises en place pour renforcer la durabilité, la réduction des déchets et la responsabilité des entreprises : extension de la RPE aux EIC, instauration de l’indice de durabilité, interdiction des plastiques non-recyclables dans la restauration collective, lutte contre les microplastiques, etc.

  • L’extension de la Responsabilité Élargie du Producteur (REP) aux emballages industriels et commerciaux (EIC) : comme évoqué précédemment, les entreprises devront intégrer des pratiques d’économie circulaire dans leur gestion des emballages ;
  • Collecte simplifiée des véhicules hors d’usage : une nouvelle mesure de la filière REP consiste à permettre la collecte gratuite des vieux véhicules directement chez les propriétaires, afin d’éviter l’abandon dans la nature et de favoriser leur recyclage ;
  • L’instauration d’un indice de durabilité : l’indice de réparabilité est remplacé en 2025 par l’indice de durabilité. Celui-ci, en plus d’indiquer la facilité de réparation d’un produit, signale sa robustesse, sa fiabilité, sa facilité d’entretien et sa garantie commerciale ;
  • L’interdiction progressive des plastiques dans la restauration collective : les restaurations collectives devront mettre fin aux contenants plastiques pour réchauffer des aliments dans les cantines scolaires, crèches et établissement médicaux dans les communes de plus de 2.000 habitants. L’AGEC interdit parallèlement les plastiques non-recyclables contenant des polymères ou copolymère difficilement recyclable, au profit d’alternatives réemployables ;
  • La lutte contre les microplastiques : à partir de 2025, tous les lave-linge neufs commercialisés devront être équipés de filtres à microfibres plastiques, afin de limiter les rejets de microplastiques dans les océans (correspondant actuellement à des millions de tonnes déversés, selon un rapport de l’UICN de 2017) ;
  • L’interdiction d’exporter des déchets électriques et électroniques (DEE) hors UE et OCDE : vise à éviter l’exportation illégale (35 millions de tonnes en 2023) et la mauvaise gestion de ces déchets dans des pays en développement, sauf accord des pays importateurs qui devront démontrer la capacité de les gérer « de manière durable ».

Ces nouvelles mesures de la loi anti gaspillage visent notamment à permettre la réduction de 20 % des emballages plastiques à usage unique (dont, au minimum, la moitié via le réemploi).

Vous savez tout sur la loi AGEC et les changements qu’elle instaure pour un avenir plus durable. Parvenir à une adoption rapide des mesures de cette loi anti gaspillage vous assure de rester en conformité et d’éviter des sanctions financières. Faites confiance à ETERNITY Systems pour vous accompagner dans cette transition durable et responsable vers l’économie circulaire.

ETERNITY Systems propose la réparation de vos emballages réemployables en plastique

Dans un monde où la durabilité et la réduction des déchets sont devenues des priorités, ETERNITY Systems se distingue par son engagement envers l’économie circulaire en complétant ses solutions de lavage avec la réparation d’emballages réemployables en plastique. Ce service s’adresse à toutes les entreprises cherchant à prolonger la durée de vie de leurs emballages réemployables/réutilisables, qu’il s’agisse de boxes, de caisses ou d’autres types de contenants.

Quels sont les types de réparations d’emballages réemployables proposés par ETERNITY Systems ?

Réparations mineures :

Les réparations mineures comprennent des interventions rapides et efficaces pour traiter les dommages superficiels qui peuvent survenir durant la boucle de réemploi. Pour faire simple, une réparation mineure consiste à remplacer une pièce ou un élément d’un emballage. Cela inclut :

  • Remplacement des composants : Substitution des éléments fortement usés ou cassés tels que les couvercles, poignées ou segments de parois pour assurer que l’emballage retrouve ses fonctionnalités complètes.
  • Fixation de charnières et fermetures : Remplacement des charnières et des systèmes de fermeture cassés pour assurer que les contenants restent bien scellés.

Réparations majeures :

Les réparations majeures concernent les dommages plus significatifs qui nécessitent une intervention approfondie et parfois la substitution de certaines parties de l’emballage. Cela passe principalement par une soudure (notamment pour les boxes). Cela inclut :

  • Refonte structurelle : Renforcement ou remplacement de sections structurelles endommagées pour restaurer l’intégrité de l’emballage.
  • Réparations de coins et bords endommagés : Renforcement des coins cassés ou fissurés pour éviter une détérioration plus importante et que le contenant retrouve son intégrité physique
  • Scellement de petites fissures et trous : Utilisation de matériaux adaptés pour boucher les petites fissures et trous, prolongeant ainsi la durée de vie de l’emballage et assurer l’absence de contamination entre le contenu et le contenant ou éviter toute contamination du contenu.

Réparation majeure d'emballages réemployables en plastique (box)

Exemple de réparation d’emballages réemployables en plastique

Pied

Réparation d'une box pour viande

Réparation de box pour la viande (avant-après)
Pied

Réparation d'un pied de caisse-pallette

Réparation d'un pied d'une caisse-palette - (avant-après)
Pied

Réparation d'un couvercle de caisse-palette

Réparation d'un couvercle de caisse-palette
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Bonne nouvelle ! Vous pouvez réparer vos emballages réemployables en plastique sans lavage préalable

Tenant compte des contraintes logistiques et impératifs d’efficacité des entreprises, ETERNITY Systems offre la flexibilité de faire réparer les emballages sans obligation de lavage préalable. En proposant ce service, ETERNITY Systems permet à ses clients de gagner du temps et de réduire les coûts associés au transport et à la gestion des emballages, tout en garantissant une réparation de haute qualité. Les clients peuvent ainsi opter pour une réparation rapide, adaptée à leurs besoins, sans étapes supplémentaires.

INFO : Nous proposerons prochainement la réparation de bacs gastronorms en inox. Nous vous tiendrons informés de l’avancement du projet.

Si vous souhaitez prolonger la durée de vie de vos emballages réemployables grâce à nos services de réparation, il vous suffit de remplir notre formulaire de contact, disponible ici. Nos experts vous accompagneront pour évaluer vos besoins spécifiques et vous proposer des solutions adaptées.

Le livre blanc “Emballages Industriels et Commerciaux : mode de (ré)emploi” vous attend !

Emballages Industriels et Commerciaux : innovez avec le réemploi

Dans un monde où la durabilité est devenue un impératif, l’industrie des emballages se trouve à un carrefour crucial. Comment pouvons-nous concilier efficacité opérationnelle, réduction des déchets et responsabilité environnementale ? Nous sommes convaincus que la réponse pourrait bien résider dans une approche souvent négligée : le réemploi des emballages industriels et commerciaux.

Notre dernier livre blanc, “Emballages Industriels et Commerciaux : Mode de (Ré)emploi”, plonge dans les profondeurs de cette solution et vous accompagne dans leur utilisation dans votre processus industrialisation. Avec des cas d’utilisation concrets provenant de divers secteurs, ce livre blanc offre un aperçu détaillé des avantages tangibles du réemploi.

Pourquoi devriez-vous lire ce livre blanc ?

Dans notre livre blanc, vous pourrez retrouver les points clés suivants:

1. Découvrez des solution de réemploi variées : Explorez comment des entreprises (issues notamment du secteur automobile et de la restauration collective) comme la vôtre ont intégré le réemploi des emballages industriels et commerciaux dans leurs opérations,

2. Apprenez les étapes pratiques pour mettre en place le réemploi : Nous décomposons le processus en étapes simples et réalisables, vous permettant de passer de la théorie à l’action.

3. Maximisez les bénéfices pour votre entreprise et pour l’environnement : En adoptant le réemploi, vous pouvez réaliser des économies substantielles, réduire votre empreinte carbone et renforcer votre image de marque.

Ce livre blanc représente la nécessité de repenser la façon dont nous concevons et utilisons nos emballages. Ensemble, nous pouvons créer un avenir où la durabilité et l’efficacité vont de pair.

Téléchargez dès maintenant notre livre blanc “Emballages Industriels et Commerciaux : Mode de (Ré)emploi” pour découvrir comment vous pouvez faire partie de cette révolution. Cliquez ci-dessous pour y accéder (uniquement disponible en français) :

Je télécharge le livre blanc

Votre prochaine grande avancée commence donc en lisant notre livre blanc.

Consultez le rapport RSE ETERNITY Systems 2024

ETERNITY Systems a le plaisir de présenter son rapport de Responsabilité Sociétale des Entreprises (RSE) 2024, soulignant notre engagement envers des pratiques durables et les principes de l’économie circulaire. En tant que leader dans le lavage industriel d’emballages réemployables, nous nous concentrons sur la réduction de notre impact environnemental tout en améliorant l’efficacité opérationnelle. Dans ce rapport, vous éléments clés de notre stratégie RSE tels que :

  1. Autonomisation des employés : Favoriser un environnement de travail sûr et motivant.
  2. Gestion environnementale : Réduire la consommation d’eau et d’énergie lors du processus de lavage.
  3. Engagement communautaire : Contribuer positivement aux écosystèmes locaux.

Pour plus de détails, visitez notre page du rapport RSE (disponible également en vous rendant sur l’onglet “Qui sommes-nous ?” puis “RSE”. Vous pourrez également télécharger le rapport RSE en version française, anglaise, espagnole, portugaise et allemande.

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ETERNITY Systems, solution vers l’économie circulaire du secteur agroalimentaire selon Circul’R

Dans un rapport publié par l’agence Circul’R, ETERNITY Systems figure parmi les entreprises pionnières qui contribuent à la transition progressive de l’économie linéaire vers l’économie circulaire dans le monde agricole.

Le modèle linéaire : un modèle sur le déclin

Le constat est sans appel : “le modèle agricole se heurte aujourd’hui à ses propres limites et surtout à celles de la planète.” C’est cette phrase qui introduit le rapport rédigé par Circul’R afin d’alerter sur la situation.

En témoigne la généralisation des emballages à usage unique, qu’ils soient en papier ou plastique, depuis les années 60.  Cependant, cette omniprésence de l’usage unique fait l’état d’impact négatif sur l’environnement dont les effets sont nombreux : émission de gaz à effet de serre, collecte et recyclage difficile, destruction de la biodiversité…

Ainsi, la question portant sur le développement d’une économie circulaire « émerge dans l’écosystème. C’est d’ailleurs sur ce dernier modèle économique que se porte les études relayées dans le rapport intitulé « Agriculture et économie circulaire : quelles solutions pour sortir du modèle linéaire dominant ? ».

Et les axes de travail sont nombreux :

CNRA x AFNOR : Guide pratique pour la résilience alimentaire

L’objectif est donc clair : soutenir la transition de l’ensemble des acteurs publics et privés vers l’économie circulaire et surtout de voir « comment, en permettant de mieux produire, mieux consommer et gérer les nouvelles vies, l’économie circulaire participe à sortir d’une logique prédatrice et linéaire (extraire – consommer – jeter) pour aller vers une logique plus régénératrice. »

On assiste aujourd’hui à des dynamiques qui tendent vers le choix d’un modèle économique circulaire. La principale statistique à prendre en compte reste la croissante prépondérante du marché du vrac sur le territoire français. En effet, Circul’R relate une « multiplication du chiffre d’affaires par 12 en 6 ans [ainsi qu’une structuration] avec des solutions opérationnelles qui se multiplient ».

C’est donc à partir de ces résultats que Circul’R cite ETERNITY Systems parmi les acteurs emmenant progressivement le monde agricole vers la voie de l’économie circulaire ainsi que sur l’application sérieuse de la loi fixant vers la sortie du plastique à usage unique d’ici 2040. Pour rappel, ETERNITY Systems lave près de 750 millions d’unités par an, en faisant le leader mondial de la collecte, transport, réparation, lavage et stockage d’emballages logistiques agroalimentaire à destination de la grande distribution notamment pour le compte de IFCO, premier pooler de “RPC” ou caisses réemployables de transport de fruits et légumes, viande, poisson ou encore boulangerie.

Faisant échos à cette étude, le Conseil National pour la Résilience Alimentaire a lancé ce mois-ci en coopération avec l’AFNOR la rédaction d’un guide pratique à destination de l’ensemble des acteurs de la chaine de valeur pour tendre vers plus de résilience et de circularité à travers toutes les chaines de valeur agroalimentaires, publication en 2024, à suivre !

Comment ETERNITY Systems intervient dans l’économie circulaire et la chaîne de valeur agricole ?

Depuis plus de 30 ans, ETERNITY Systems s’impose comme le leader mondial de lavage industriel d’emballages et contenants réemployables alimentaires primaire, secondaire et tertiaires que ce soit pour la GMS, le retail, la restauration commerciale & collective ou l’événementiel.

L’hygiène et la sécurité alimentaire sont au cœur de l’activité de l’entreprise grâce à une équipe dédiée dans chaque pays, des contrôles microbiologiques, allergènes et pathogènes réguliers, l’application d’une démarche HACCP et la certification de l’ensemble des sites ISO 9001 et ISO 45001, gages de sérieux et de crédibilité. D’ailleurs, dans le cadre de notre démarche d’amélioration continue, nous contribuons actuellement au consortium européen Buddie-Pack dont 5 des 6 cas d’usage étudiés sont en lien avec des produits alimentaires.

Retrouvez dès à présent le rapport complet en cliquant sur le bouton ci-dessous (disponible uniquement en français) :

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Pour une politique européenne ambitieuse de prévention et de réduction des emballages

ETERNITY Systems, membre de l’Alliance NewERA qui New vise à rendre les emballages réemployables, pratiques et durables pour tous se sont associés à ECOS, European Environmental Bureau, Recycling Netwerk Benelux, Reloop, Minderoo Foundation & Zero Waste Europe pour publier des recommandations en faveur d’un cadre réglementaire européen ambitieux sur la prévention et la réduction des emballages et de la pollution plastique dans le contexte des négociations internationales et européennes en cours.

Occasion unique pour l’UE de prévenir les déchets et d’intensifier la réutilisation pour un secteur stratégique, l’emballage. Donner la priorité à la prévention et au réemploi peut contribuer de manière significative à réduire les émissions et à atteindre les objectifs climatiques, tout en prévenant la pollution, en réduisant considérablement l’utilisation de l’énergie et des ressources et en bénéficiant aux acteurs économiques des territoires.
C’est aussi l’opportunité de gagner en souveraineté et sécurité des approvisionnements (fluctuations coûts matières premières) pour toutes les filières industrielles qui ont besoin de transporter des marchandises ou mettre des produits emballés sur le marché que ce soit pour le retail, la restauration commerciale & collective ou encore l’événementiel.

À titre d’exemple, l’augmentation des systèmes de réutilisation en Europe de seulement 20% dans seulement 3 groupes de produits prometteurs (aliments et boissons à emporter, e-commerce et produits d’entretien ménagers) d’ici 2027 réduirait de 1,3 million de tonnes d’émissions d’équivalent CO2, économiserait près de 2,5 milliards de mètres cubes d’eau et utiliserait 10 millions de tonnes de matériaux en moins par an. Les impacts annuels de la mise à l’échelle de ces systèmes de 50% d’ici 2030 permettraient d’éviter le rejet de 3,7 millions de tonnes d’émissions, de conserver 10 milliards de mètres cubes d’eau et d’éviter l’utilisation de près de 23 millions de tonnes de ressources.

Dans cette perspective, afin de renforcer les mesures de prévention et de réemploi portées dans le règlement sur les emballages et les déchets d’emballages, nous recommandons de :
✅ Distinguer le réemploi, de la recharge
✅ Valoriser en 1er lieu la sobriété par le réemploi
✅ Encourager la création de standards européens pour toutes les tailles d’emballages et applications majeures via la création d’un cadre normatif
✅ Inclure la prévention et le réemploi dans le cadre des obligations de REP
✅ Valoriser une approche régionale pour la création de centres de lavage industriel optimisés en eau et énergie et créant ainsi de la cohésion et de l’activité économique à travers les territoires

Lire le détail des propositions ici >> Joint statement -For an ambitious EU policy on the prevention and reduction of packaging

Livre blanc “Objectif : Zéro Déchet Plastique” : une voie vers la réduction des emballages plastiques à usage unique

Rédigé par la ville de Paris via son label “Eau de Paris” dans le cadre de l’action Tank, la municipalité publie son livre blanc “Objectif Zéro Déchet Plastique”, destiné à présenter aux yeux du grand public les actions menées par la ville ainsi que des enseigements et conseils pour réduire l’utilisation du plastique à usage unique pour la consommation d’eau.

Quel est le but du livre blanc “Objectif Zéro Déchet Plastique” ?

“Au Festival Solidays, sur les 600000 gobelets mis à disposition des festivaliers, 40000 ne sont pas collectés”.

C’est une des statistiques qui témoigne de la nécessité de mettre en place des actions et dispositifs pour réduire les déchets liés aux plastiques à usage unique. Ainsi, 30 partenaires issus de l’écosystème de la réutilisation et du réemploi se sont concordés dans l’écriture de ce livre blanc. Le but principal : accompagner chaque structure à mettre en place des actions visant à supprimer les contenants plastiques à usage unique concernant la consommation d’eau.

Comment est composé le livre blanc ?

Ce livre blanc se compose de trois grandes parties :

  • La première partie s’oriente vers les actions qui sont faites au préalable quant à la mise en place d’une démarche dite “zéro déchet à usage unique”, quelque soit la structure qui souhaite s’engager à réduire les contenants plastiques à usage unique. Ainsi ce livre blanc questionne sur la pertinence des gobelets réutilisables comme alternative et montre comment communiquer positivement autour de l’eau du robinet.
  • La deuxième partie se consacre aux actions et conseils adaptés à chaque structure, type d’usagers et situation d’usage (établissements scolaires, administratifs, évènements sportifs, …)
  • Enfin, les annexes illustrent des témoignages d’experts et des cas concrets d’actions et de dispositifs mis en place par différents organismes (entreprises privées, collectivités territoriales…)

Ce livre représente donc un excellent moyen de partager les bonnes pratiques pour améliorer la consommation d’eau et ainsi inventer un autre mode de consommation en favorisant la réutilisation et le réemploi. Félicitations à Eau de Paris et à l’ensemble des partenaires pour la rédaction et l’implication.

Découvrez les actions concrètes et faites le premier pas  :

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